dimanche 16 novembre 2014

MAIS ELLE EST OÙ, L'URGENCE DANS LE FINANCEMENT DES TRANSPORTS PUBLICS UTILES ?

Nos chers décideurs, à la région ou aux départements 93 et 94, ne cessent de prôner et de mettre en avant ce projet destructeur pour la ville de Noisy-le-Sec qu'est le prolongement du T1 (hors de prix - plus d'un demi-milliard d'euros - de loin le plus cher de France), alors même qu'existent d'autres solutions moins coûteuses et plus efficaces pour les usagers — se référer à nos différents articles antérieurs — pour les Noiséens, mais également pour nos voisins, et en particulier pour les habitants de Montreuil.

Il suffit ainsi de parcourir un seul numéro du journal "Le Parisien", paru la semaine passée (le vendredi 14 novembre) — voir ci-dessous les articles qui y sont publiés ce jour-là —  pour vérifier ce que l'on pourrait qualifier d'obsession de la part des Jean-Paul Huchon, Pierre Serne, Stéphane Troussel, Christian Favier, Razzy Hammadi, sans parler des seconds couteaux, notamment sur notre ville : où sont donc les priorités ?

De très nombreux besoins réels existent en termes de transports publics - que ce soient en termes d'entretien, d'améliorations, de réparations (cf entre autres la ligne C du RER, à moitié bloquée pour … 3 ans !) — ou bien en termes de projets nouveaux utiles et attendus depuis longtemps (la ligne de métro 11; la Tangentielle, une nouvelle fois repoussée aux calendes grecques ….).

En cette période de quasi-faillite généralisée, il est encore plus impératif de cibler les efforts sur les projets réellement utiles à la population, et ce de la façon la plus soucieuse possible des deniers publics. Ceci n'a pas empêché le gouvernement de mettre en place très récemment une nouvelle taxe (une de plus !) dite "additionnelle"de 140 M€ pour contribuer à financer les transports en commun sur la région parisienne.










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