mardi 27 décembre 2016

MALHONNÊTETÉ INTELLECTUELLE

Après Jean-Paul Lefebvre qui croit bon de nous citer en Conseil municipal en déformant notre position (cf nos articles précédents), c'est le Front de Gauche noiséen qui prend quelques libertés avec les faits et l'histoire dans un article récent sur son blog.

 
Ce qui est bien avec eux, c'est qu'ils énoncent des contre-vérités à la limite de la diffamation, et de plus  
censurent le commentaire parfaitement mesuré par lequel nous leur avons répondu en rétablissant la réalité (et ce, alors même qu'ils affichent sur ce site leur soi-disant "espace de liberté d'expression", voir ci-contre ...) =>


Nous ne sommes pas trop surpris toutefois de la part de gens qui s'amusent à exploiter l'adresse IP des commentateurs ce qui est formellement interdit par la loi … mais également par une déontologie qui devrait s'imposer à ceux qui tiennent ce type de blog !



Ces méthodes nous rappellent bien sûr certaines heures sombres.  


Extrait du blog du Front de Gauche :


Bien entendu TramNon — contrairement à ce que prétend le Front de Gauche — n'a jamais été  à l'initiative de ce meeting organisé en 2005 au gymnase Langevin.

Bien sûr personne — contrairement à ce que prétend encore le Front de Gauche — n'a à cette occasion été ni insulté ni molesté. Si banderoles il y avait, elles n'étaient en rien injurieuses.

Enfin, si quand même ! : les Noiséens ont été insultés, puisque traités de "village gaulois" par monsieur Méry, à l'époque Vice-Président du Stif en charge des transports. Dans sa bouche cette expression n'était pas vraiment amicale

En matière d'insulte et de violence, par contre, on peut rappeler
un fait.
Quelques jours après les élections municipales de 2001, remportées par la majorité sortante menée par Jean-Louis Mons (PCF), était distribué le journal municipal "Noisy Info" annonçant le résultat de ces élections. Quelques pages plus loin, un dossier présentait  le projet de prolongement du T1 dont la majorité sortante s'était bien gardée de parler pendant la campagne : en effet le passage avenue Galliéni avait fait l'objet d'une forte contestation (largement justifiée). Cacher ce nouveau projet de prolongement par la rue Jean-Jaurès pendant la campagne était une insulte aux Noiséens bien plus grave que tous les mots parfois durs mais jamais blessants échangés après — sans même parler du mépris envers la démocratie et la déontologie que cela représentait de la part de celui qui était censé être le premier magistrat de notre commune …


1 commentaire:

  1. la loi oblige à permettre un droit de réponse. il est donc possible de faire condamner quelqu'un s'il ne le permet pas.

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